Quand et comment les responsables vont réagir?
Combien de temps demanderait une opération de remise à niveau des artères de Tanger, celles du grand centre-ville tout spécialement?
Sachant que les routes des grands boulevards et celles menant vers les principaux quartiers sont dans un état de dégradation plus que lamentable, un tel projet devrait constituer une urgence et la priorité du département responsable.
A La Dépêche, nous avons appris que ce projet existe bel et bien et qu’il serait réalisé au fur et à mesure que certains travaux, notamment de pose de nouvelles canalisations soient terminés.
Il s’agit effectivement d’une opération visant à habiller les principales artères de la ville d’un nouvel asphalte, comme c’est déjà le cas actuellement à la grande avenue traversant le quartier de Branes, à partir du rond-point de Trial Atlas jusqu’à la route de Rabat.
Si d’autres projets sont réalisés ailleurs, ce serait idéal. Sauf qu’il reste à peine quelques petites semaines avant l’arrivée de la saison d’été et des grandes vacances, période durant laquelle le nombre des habitants de Tanger et des véhicules qui y circulent est au minimum multiplié par 3.
Cette situation, déjà assez difficile à gérer, le sera davantage si les principales routes de la ville sont coupées à cause des travaux.
Alors quel serait le scénario préparé par les responsables? Il existe deux solutions: le faire malgré toutes les difficultés, même si cela provoquerait d’énormes embouteillages partout, ou reporter ce projet jusqu’à plus tard et laisser les estivants et les populations locales casser leurs véhicules à cause des nombreux trous existant ici et là.
Généralement, le meilleur moment pour réaliser ce type de projet est le début de l’automne, ni durant l’été, ni durant la saison de l’hiver.
Mais la réalité exige une action rapide, car certaines routes et artères de la ville sont actuellement dans un état si piteux qu’il va falloir les réaménager en toute urgence.
Les automobilistes (et même les piétons qui sont souvent victimes de ces routes cassées), ont droit à vivre dans une ville possédant des routes bien aménagées, à l’asphalte neuf, propre et bien tracé. Ils ont aussi droit à des routes et des trottoirs dégagées, leur permettant de circuler sans être dérangés par les doubles stationnements (il y a suffisamment de parkings dans le centre-ville et ailleurs!), ni par les vendeurs ambulants et les nombreuses terrasses des cafés et restaurants qui se sont appropriés presque tous les trottoirs de la ville.
L’autre raison logique pour démarrer rapidement l’opération de réaménagement des routes de Tanger réside dans le fait que le Roi pourrait bien venir passer l’été à Tanger et Tétouan.
Sachant qu’il aime circuler et visiter de nombreux quartiers de la ville, il serait temps donc de se dépêcher pour régler certaines anomalies.
Tanger va-t-elle accueillir son Roi et ses visiteurs avec des artères qui sont dans un état si dégradé?
A.R.
Sachant que les routes des grands boulevards et celles menant vers les principaux quartiers sont dans un état de dégradation plus que lamentable, un tel projet devrait constituer une urgence et la priorité du département responsable.
A La Dépêche, nous avons appris que ce projet existe bel et bien et qu’il serait réalisé au fur et à mesure que certains travaux, notamment de pose de nouvelles canalisations soient terminés.
Il s’agit effectivement d’une opération visant à habiller les principales artères de la ville d’un nouvel asphalte, comme c’est déjà le cas actuellement à la grande avenue traversant le quartier de Branes, à partir du rond-point de Trial Atlas jusqu’à la route de Rabat.
Si d’autres projets sont réalisés ailleurs, ce serait idéal. Sauf qu’il reste à peine quelques petites semaines avant l’arrivée de la saison d’été et des grandes vacances, période durant laquelle le nombre des habitants de Tanger et des véhicules qui y circulent est au minimum multiplié par 3.
Cette situation, déjà assez difficile à gérer, le sera davantage si les principales routes de la ville sont coupées à cause des travaux.
Alors quel serait le scénario préparé par les responsables? Il existe deux solutions: le faire malgré toutes les difficultés, même si cela provoquerait d’énormes embouteillages partout, ou reporter ce projet jusqu’à plus tard et laisser les estivants et les populations locales casser leurs véhicules à cause des nombreux trous existant ici et là.
Généralement, le meilleur moment pour réaliser ce type de projet est le début de l’automne, ni durant l’été, ni durant la saison de l’hiver.
Mais la réalité exige une action rapide, car certaines routes et artères de la ville sont actuellement dans un état si piteux qu’il va falloir les réaménager en toute urgence.
Les automobilistes (et même les piétons qui sont souvent victimes de ces routes cassées), ont droit à vivre dans une ville possédant des routes bien aménagées, à l’asphalte neuf, propre et bien tracé. Ils ont aussi droit à des routes et des trottoirs dégagées, leur permettant de circuler sans être dérangés par les doubles stationnements (il y a suffisamment de parkings dans le centre-ville et ailleurs!), ni par les vendeurs ambulants et les nombreuses terrasses des cafés et restaurants qui se sont appropriés presque tous les trottoirs de la ville.
L’autre raison logique pour démarrer rapidement l’opération de réaménagement des routes de Tanger réside dans le fait que le Roi pourrait bien venir passer l’été à Tanger et Tétouan.
Sachant qu’il aime circuler et visiter de nombreux quartiers de la ville, il serait temps donc de se dépêcher pour régler certaines anomalies.
Tanger va-t-elle accueillir son Roi et ses visiteurs avec des artères qui sont dans un état si dégradé?
A.R.
