Avec l’arrivée des premières chaleurs annonçant un été qui sera sûrement torride, et profitant d’une longue fin de semaine de l’Aid, nombreux ont été les citoyens qui ont passé leurs journées à la plage. Les gens ont aussi peur que les autorités leur interdisent la baignade durant cet été et qu’elles bloquent l’accès aux plages de la ville comme l’été dernier. Au fond, personne ne sait quel seraient les décisions qui seraient prises contre le virus du COVID-19, même si des millions de citoyens ont été vaccinés contre ce maudit virus.
Cette peur de la fermeture des plages a poussé, en effet, des milliers de personnes à profiter de ces journées ensoleillées en les passant à la plage.
Un extraordinaire moment qui a pourtant été accompagné d’une autre sensation de peur et d’angoisse terribles à cause de ce phénomène inquiétant des quads de plus en plus grands et agaçants qui circulent durant toute la journée sur toutes les plages de Tanger et de sa région.
Dimanche après-midi, à la plage de Jbilat, les familles qui avaient l’intention de passer un bon moment à la plage ont été envahies par plusieurs quads, dont un à 4 places, au mépris des promeneurs. Pollution sonore, danger d’accidents graves mettant en péril petits et grands, ce festival des quads s’impose chaque jour comme étant une activité normale, légale et ne représentant aucun problème.
Ce récital a lieu, bien évidemment, dans l’absence totale d’une réglementation qui organise ce genre d’activités dites sportives. Or, ce qui se passe à Jbilat, comme partout sur les plages de Tanger, n’a absolument rien à voir avec une discipline sportive, ni une discipline quelconque d’ailleurs.
Cette plage, comme toutes les autres, reste démunie du moindre contrôle des agents de la sécurité. Sur ces plages il n’existe, en effet, aucune police, ni les agents de la protection civile, ni même une ambulance. C’est comme si ces corps attendent un grave accident pour agir.
Avec l’arrivée des premières chaleurs annonçant un été qui sera sûrement torride, et profitant d’une longue fin de semaine de l’Aid, nombreux ont été les citoyens qui ont passé leurs journées à la plage. Les gens ont aussi peur que les autorités leur interdisent la baignade durant cet été et qu’elles bloquent l’accès aux plages de la ville comme l’été dernier. Au fond, personne ne sait quel seraient les décisions qui seraient prises contre le virus du COVID-19, même si des millions de citoyens ont été vaccinés contre ce maudit virus.
Cette peur de la fermeture des plages a poussé, en effet, des milliers de personnes à profiter de ces journées ensoleillées en les passant à la plage.
Un extraordinaire moment qui a pourtant été accompagné d’une autre sensation de peur et d’angoisse terribles à cause de ce phénomène inquiétant des quads de plus en plus grands et agaçants qui circulent durant toute la journée sur toutes les plages de Tanger et de sa région.
Dimanche après-midi, à la plage de Jbilat, les familles qui avaient l’intention de passer un bon moment à la plage ont été envahies par plusieurs quads, dont un à 4 places, au mépris des promeneurs. Pollution sonore, danger d’accidents graves mettant en péril petits et grands, ce festival des quads s’impose chaque jour comme étant une activité normale, légale et ne représentant aucun problème.
Ce récital a lieu, bien évidemment, dans l’absence totale d’une réglementation qui organise ce genre d’activités dites sportives. Or, ce qui se passe à Jbilat, comme partout sur les plages de Tanger, n’a absolument rien à voir avec une discipline sportive, ni une discipline quelconque d’ailleurs.
Cette plage, comme toutes les autres, reste démunie du moindre contrôle des agents de la sécurité. Sur ces plages il n’existe, en effet, aucune police, ni les agents de la protection civile, ni même une ambulance. C’est comme si ces corps attendent un grave accident pour agir.
Avec l’arrivée des premières chaleurs annonçant un été qui sera sûrement torride, et profitant d’une longue fin de semaine de l’Aid, nombreux ont été les citoyens qui ont passé leurs journées à la plage. Les gens ont aussi peur que les autorités leur interdisent la baignade durant cet été et qu’elles bloquent l’accès aux plages de la ville comme l’été dernier. Au fond, personne ne sait quel seraient les décisions qui seraient prises contre le virus du COVID-19, même si des millions de citoyens ont été vaccinés contre ce maudit virus.
Cette peur de la fermeture des plages a poussé, en effet, des milliers de personnes à profiter de ces journées ensoleillées en les passant à la plage.
Un extraordinaire moment qui a pourtant été accompagné d’une autre sensation de peur et d’angoisse terribles à cause de ce phénomène inquiétant des quads de plus en plus grands et agaçants qui circulent durant toute la journée sur toutes les plages de Tanger et de sa région.
Dimanche après-midi, à la plage de Jbilat, les familles qui avaient l’intention de passer un bon moment à la plage ont été envahies par plusieurs quads, dont un à 4 places, au mépris des promeneurs. Pollution sonore, danger d’accidents graves mettant en péril petits et grands, ce festival des quads s’impose chaque jour comme étant une activité normale, légale et ne représentant aucun problème.
Ce récital a lieu, bien évidemment, dans l’absence totale d’une réglementation qui organise ce genre d’activités dites sportives. Or, ce qui se passe à Jbilat, comme partout sur les plages de Tanger, n’a absolument rien à voir avec une discipline sportive, ni une discipline quelconque d’ailleurs.
Cette plage, comme toutes les autres, reste démunie du moindre contrôle des agents de la sécurité. Sur ces plages il n’existe, en effet, aucune police, ni les agents de la protection civile, ni même une ambulance. C’est comme si ces corps attendent un grave accident pour agir.