Un prodige ne naît pas seul, il se construit. Mohamed Bennis en est la preuve.
Né le 19 Juin 1998, Mohamed Bennis a obtenu son Baccalauréat en 2017, à l’École Américaine de Tanger, avant de partir à Boston, Massachusetts, aux États-unis, où il a poursuivi ses études universitaires à la Northeastern University, en sciences mathématiques et en Business Administration, option Finances (double majeure en mathématiques et finance).
De retour à sa ville natale, ce jeune businessman écrit aujourd’hui une belle succes story et s’impose comme un vrai leader.
Sa réussite trouve son origine notamment à travers diveres actions qu’il avait réalisées alors qu’il était encore étudiant.
Aujourd’hui, après son retour au bercail où il gère à Tanger des investissements familiaux, (Mohamed Bennis est directeur général adjoint du Groupe Immobilier Bennis), ce jeune diplômé des universités américaines, réalise un parcours professionnel remarquable et attire l’attention de nombreux experts dans le domaine du business et de la gestion administrative. Mais pas uniquement!
Diplômé de l’une des plus prestigieuses universités des États-Unis et ayant été nourri dès son enfance aux grands challenges, ce jeune prodige ne s’est pas arrêté à ce stade. Pour Mohamed Bennis, obtenir un super diplôme universitaire aux USA n’était pas une fin en soi mais le début du grand défi de vouloir redéfinir un savoir-faire d’un niveau exceptionnel, apprécié par tout le monde.
Dans ce sens et comme première initiative personnelle, Mohamed Bennis, encore étudiant, a fondé un incubateur de startups pour les futures startups FinTech qu’il a nommé “Disrupt : The FinTech Initiative”. Il est également le Président de “Disrupt : The FinTech Initiative” de Northeastern University et Co-Directeur de IDEA, Accélérateur de capital-risque dirigé par des étudiants de Northeastern University.
Le jeune M. Bennis est aussi Co-Président du “Real Estate Club” de Northeastern University et Co-Président de “Arab Student Association” de la même université.
Par ailleurs, ses stages aux USA confirment bien cet énorme savoir-faire qu’il maîtrise actuellement. En effet, Mohamed Bennis a effectué ses stages professionnels notamment à la Investments Associate chez Arrowstreet Capital à Boston (gestionnaire systématique d’actifs d’actions mondiales fournissant des solution aux investisseurs institutionnels du monde entier qui gère plus que 90 billion de dollars).
Il a été également fort présent comme Private Wealth Management Analyst chez Goldman Sachs à New York (leader mondial des services bancaires d’investissement, des valeurs mobilières et de la gestion des investissements).
Deux sociétés américaines d’une énormité absolue dans le secteur du big business financier mondial.
Âgé à peine de 25 ans, Mohamed Bennis possède ainsi d’ores et déjà un parcours très brillant qui fait de lui une promesse d’un homme d’affaires signant de beaux succès.
3 questions à Mohamed Bennis
• Quel est cette valeur ajoutée que vous avez donné au groupe immobilier Bennis depuis que vous êtes son DG Adjoint?
Je pense que le plus important apport depuis que je suis directeur général adjoint du groupe immobilier Bennis est l’investissement dans la digitalisation et les systèmes informatiques. Cela nous a aidé à faire un énorme pas vers l’avant aussi bien en ce qui concerne notre travail interne dans nos bureaux, que concernant notre relation avec les différentes partenaires, administrations et aussi avec nos clients.
Nos actions se sont énormément modernisées grâce à la digitalisation, notamment dans nos stratégie de marketing. Et je peux dire que le groupe immobilier Bennis est pionnier dans ce domaine. Aujourd’hui, c’est un esprit tout à fait nouveau et très positif qui domine toutes nos stratégies et nos clients en sont très satisfaits.
• Quelles sont les autres activités parallèles qui donnent au groupe immobilier Bennis sa belle notoriété à Tanger?
Je pense qu’en parallèle à notre principale activité qui est la promotion immobilière, le groupe reste aussi très présent dans le domaine des actions sociales.
Nous avons développé une philosophie propre qui se résume à réaliser des projets sociaux pour aider les populations défavorisées.
• Aux États-Unis vous avez fondé un incubateur de startups pour les futures startups FinTech nommé “Disrupt : The FinTech Initiative”. Avez-vous une ambition d’appliquer les mêmes idées au Maroc ?
Oui bien sûr. C’est un objectif que je vais aussi réaliser. Le secteur de la FinTech et des startups est très développé au Maroc qui se positionne comme leader dans le monde arabe et en Afrique.
Cette situation avantageuses encourage les jeunes à investir dans le secteur de la FinTech et j’ai personnellement plusieurs idées de projets à concrétiser pour développer les startups marocaines.