L’intelligence collective est un enjeu important pour le bon fonctionnement de toute organisation, quelle que soit sa forme ou sa taille. Elle permet à un groupe d’individus ou une collectivité d’utiliser au mieux les capacités, la réflexion et la diversité des aptitudes de chacun pour parvenir à un but commun, et de trouver des solutions créatives et innovantes aux défis les plus difficiles. La principale clé : la communication.
Loin de se résumer à la seule addition des connaissances ou compétences individuelles de l’entreprise, elle tire sa valeur ajoutée des relations nouées par les équipes. Ainsi, les individus qui échangent et collaborent trouvent toujours un bénéfice supérieur à ce qu’ils auraient obtenu en agissant isolément…
Pierre Lévy l’a très bien défini aussi comme étant « une intelligence partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences ».
Pour que cette intelligence devienne réalité, elle requiert plusieurs éléments-clés :
• le partage de l’information car chaque individu ne possède qu’une part des connaissances nécessaires pour mener à bien l’objectif commun;
• la fixation et le respect de règles communes par tous les membres pour s’assurer que les échanges aboutissent à une vraie mobilisation des compétences ;
• un système au sein duquel chaque individu trouve un bénéfice à collaborer.
Pour que l’entreprise soit en capacité de tirer profit de l’intelligence collective, il est nécessaire de mettre en place un management transversal et participatif et une bonne communication. Il faut aussi s’éloigner de l’ancien modèle hiérarchique. Les normes, les relations internes, et les valeurs de l’entreprise doivent être réinventées.
Au lieu de surveiller au quotidien les talents internes, il est préférable d’instaurer un climat qui les encourage à prendre des initiatives individuelles, pour mieux créer une adhésion spontanée au travail. Ainsi, plutôt que d’inciter les salariés à se faire concurrence entre eux, ce nouveau management encourage le travail collaboratif, la communication. Il accorde une large place aux soft-skills, et fait émerger une conscience de groupe au sein d’une équipe. Il fait réaliser à chacun la richesse apportée par la complémentarité de leurs compétences et par une coopération efficace.
Ceci étant dit reste un défi au quotidien, et bien évidement nécessite une formation pour toute l’équipe, n’empêche que dans un monde ou l’information est disponible par un simple clic rester ignorant est un choix.
Je vous invite chers lecteurs à vous renseigner sur l’intelligence collective et répandre les basiques autour de vous.
Je Vous Remercie et Bonne Chance.
Dr Mariam Bendriss
Loin de se résumer à la seule addition des connaissances ou compétences individuelles de l’entreprise, elle tire sa valeur ajoutée des relations nouées par les équipes. Ainsi, les individus qui échangent et collaborent trouvent toujours un bénéfice supérieur à ce qu’ils auraient obtenu en agissant isolément…
Pierre Lévy l’a très bien défini aussi comme étant « une intelligence partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences ».
Pour que cette intelligence devienne réalité, elle requiert plusieurs éléments-clés :
• le partage de l’information car chaque individu ne possède qu’une part des connaissances nécessaires pour mener à bien l’objectif commun;
• la fixation et le respect de règles communes par tous les membres pour s’assurer que les échanges aboutissent à une vraie mobilisation des compétences ;
• un système au sein duquel chaque individu trouve un bénéfice à collaborer.
Pour que l’entreprise soit en capacité de tirer profit de l’intelligence collective, il est nécessaire de mettre en place un management transversal et participatif et une bonne communication. Il faut aussi s’éloigner de l’ancien modèle hiérarchique. Les normes, les relations internes, et les valeurs de l’entreprise doivent être réinventées.
Au lieu de surveiller au quotidien les talents internes, il est préférable d’instaurer un climat qui les encourage à prendre des initiatives individuelles, pour mieux créer une adhésion spontanée au travail. Ainsi, plutôt que d’inciter les salariés à se faire concurrence entre eux, ce nouveau management encourage le travail collaboratif, la communication. Il accorde une large place aux soft-skills, et fait émerger une conscience de groupe au sein d’une équipe. Il fait réaliser à chacun la richesse apportée par la complémentarité de leurs compétences et par une coopération efficace.
Ceci étant dit reste un défi au quotidien, et bien évidement nécessite une formation pour toute l’équipe, n’empêche que dans un monde ou l’information est disponible par un simple clic rester ignorant est un choix.
Je vous invite chers lecteurs à vous renseigner sur l’intelligence collective et répandre les basiques autour de vous.
Je Vous Remercie et Bonne Chance.
Dr Mariam Bendriss