Il est temps d’ôter les masques, ceux de la façade sociale, de la peur du regard des autres, de l’indifférence aussi.
Être soi-même n’est pas une faiblesse, c’est un acte de responsabilité.
La société d’aujourd’hui a besoin d’authenticité, de vigilance et de conscience.
Chacun doit répondre de ses actes : dans la rue, au travail, dans la gestion des affaires publiques comme dans la préservation de la planète.
Car pendant que les grandes conférences internationales parlent de neutralité carbone, notre réalité quotidienne reste alarmante:
Les citoyens peinent à trier leurs déchets.
Les ordures jonchent encore nos trottoirs.
Les comportements civiques manquent d’éducation écologique.
Pourtant, les solutions existent.
*Investir massivement dans les technologies vertes et les énergies renouvelables.
*Coordonner les États autour de plans climatiques ambitieux.
*Assurer la justice climatique, en protégeant les plus vulnérables.
*Contrôler les engagements pris par chaque pays dans un cadre international rigoureux.
Mais rien de tout cela ne sera possible sans une révolution de mentalité.
C’est à l’école que tout commence: instaurer des ateliers de recyclage, des cours de civisme écologique, et des formations pour adultes afin de replacer la valeur de la nature au cœur de la citoyenneté.
Comme l’a rappelé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, «l’éducation à l’environnement est un pilier du développement durable, elle forge l’esprit du citoyen responsable de demain.»

L’écologie n’est plus une option.
C’est un devoir moral, une exigence économique et un héritage pour les générations futures.
Nous n’avons plus le luxe d’attendre: agir maintenant est la seule voie pour bâtir un avenir propre, équilibré et digne de notre civilisation.