Travailler en équipe et dans une bonne ambiance, c’est indispensable pour garder un Y motivé. La génération Y est une génération relationnelle. Elle a compris qu’à plusieurs on va plus loin. La valeur d’esprit d’équipe est essentielle.
Ces jeunes générations qui effectuent leurs premières expériences durables dans le monde du travail rechignent à adopter une vision du travail traditionnel. Travailler ne doit pas être ressenti comme une tâche ou un devoir.
L’épanouissement personnel est la priorité des “millenials” et de la génération Y. Il ne s’agit pourtant pas d’un caprice qu’une génération riche de l’expérience de leurs pères.
La recherche du bien-être par l’épanouissement au travail est légitime et n’est pas le propre de ces jeunes générations ; cependant elle est symptomatique d’une montée de l’individualisme où le “moi” prime sur le “nous”. Il ne s’agit plus de l’entreprise comme partie intégrante de l’individu mais bien l’individu comme partie intégrante de l’entreprise.
Un tel schisme invite les entreprises à remodeler leur management organisationnel. Ce constat déstabilise le système de récompense traditionnel.
Ainsi, une culture dite « bienveillante » qui privilégie des comportements individuels et collectifs orientés autour de l’autonomie, l’implication, la gratitude et l’entraide permettrait à chacun de se réaliser et développer son potentiel.
Instaurer une culture de la bienveillance est un réel effort qui doit être porté par le top management et co-construit avec les équipes pour garantir son succès dans la durée.
Bref, Ces jeunes générations sont à la recherche de challenges à effectuer et veulent se dépasser. Favoriser la souplesse dans l’attribution de responsabilités est la voûte clé pour parler et engager ces jeunes polyvalents et prometteurs.
Bonnes vacances chers lecteurs et merci pour votre fidélité