Chers lecteurs, dans les chroniques dernières nous avons vu ensemble l’importance des valeurs dans nos vies, que ce soit dans notre personnelle ou professionnelle.
Cette semaine nous allons voir ensemble l’importance de la compassion dans nos relations.
Nous pouvons définir la compassion par un sentiment par lequel un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d’autrui et poussé à y remédier, par amour, morale ou éthique.
La compassion marque la différence entre comprendre et prendre soin. C’est le genre d’amour qu’un parent ressent pour son enfant. Cultiver ce sentiment plus largement signifie l’étendre aux autres personnes qui font partie de notre vie et que nous sommes amenés à croiser. Je pense qu’au sein de l’entreprise, cette approche peut fournir des résultats extrêmement positifs, que ce soit dans notre relation à nos pairs, dans notre façon de nous comporter en tant que leader, ou dans notre approche des clients ou des usagers. L’approche positive d’autrui engendre la résonance particulière sur laquelle se construisent la confiance et la fidélité et qui garantit des échanges harmonieux. À l’inverse, si vous ne montrez en aucune façon que vous vous souciez de la situation, il en résulte un manque de confiance et une discordance. D’importants dysfonctionnements s’ensuivent, dans le cadre familial comme dans le cadre professionnel.
Chers lecteurs, je vous laisse méditer sur cette citation de Robert Sutton avec laquelle j’ai choisi  de conclure cette belle chronique sur la compassion :
« La compassion permet d’être en adéquation avec des valeurs morales, de guider nos choix et d’entretenir une forme d’estime de soi »

Merci de votre fidélité

Dr Mariam Bendriss