Exemple de la rue de la Liberté
Grâce à une vidéo lancée la semaine dernière par l’ex élu communal, Moufti Abdelilah (Awami), la société chargée du ramassage des ordures dans le centre-ville de Tanger est vite intervenue pour nettoyer un trottoir de la rue de la Liberté, à quelques pas de l’entrée du Minzah Hotel.
Ce n’est pas la première fois que des appels sont lancés via les réseaux sociaux pour nettoyer une rue, un boulevard ou une avenue. L’état avancé de la saleté partout dans cette ville a, en effet, dépassé toutes les limites, au point que cette situation est devenue insupportable.
Cependant, ce qui fait davantage mal au cœur reste ce fait que les sociétés responsables ne réagissent que très rarement pour mener des opérations de nettoyage qui font partie de leurs attributions.
A qui incombe la faute? A la commune qui ne contrôle pas efficacement les sociétés chargées de ce secteur, ou à ces 2 entreprises qui font très mal leur travail payé par le contribuable?
Sûrement aux uns et aux autres. Mais, il existe également une troisième partie qui aussi responsable de l’état de saleté de la ville et dont on ne parle que très peu: Le citoyen.
Ce n’est pas la première fois que des appels sont lancés via les réseaux sociaux pour nettoyer une rue, un boulevard ou une avenue. L’état avancé de la saleté partout dans cette ville a, en effet, dépassé toutes les limites, au point que cette situation est devenue insupportable.
Cependant, ce qui fait davantage mal au cœur reste ce fait que les sociétés responsables ne réagissent que très rarement pour mener des opérations de nettoyage qui font partie de leurs attributions.
A qui incombe la faute? A la commune qui ne contrôle pas efficacement les sociétés chargées de ce secteur, ou à ces 2 entreprises qui font très mal leur travail payé par le contribuable?
Sûrement aux uns et aux autres. Mais, il existe également une troisième partie qui aussi responsable de l’état de saleté de la ville et dont on ne parle que très peu: Le citoyen.
L’absence du civisme chez une grande partie des populations locales a atteint, en effet, un stade très préoccupant et super alarmant.
En plus des clochards, des délinquants, des mendiants, qui crachent et pissent partout, de ces centaines de vendeurs ambulants, qui abandonnent chaque soir des tonnes de plastique et cartons derrière eux, une partie des citoyens participe à son tour à rendre plus sale la ville en jetant les poubelles et les ordures n’importe où.
Tanger est une ville qui a été toujours très propre. Et c’est malheureux qu’elle devienne si mal entretenue durant cette époque à priori de développement et de prospérité.
Quelque chose va mal dans la société et il faut la corriger rapidement. Mais qui va le faire et à qui incombe cette responsabilité?
Pour conclure, les deux photos illustrent bien l’état chaotique de la rue de la liberté en 2024 et à quel point elle était si propre durant les années 50-60. La différence est flagrante!